Objectif du projet
Former les nourrices travaillant des orphelinats de Go Vap et de Vung Tau en s’appuyant sur un kinésithérapeute français en Volontariat de solidarité internationale (VSI) pour améliorer les conditions de santé des orphelins.
Public concerné
- 250 orphelins accueillis à Go Vap
- 15 orphelins handicapés de Vung Tau
Contexte
La formation des nourrices porte sur :
- Les soins de base
- L’installation des enfants pour qu’ils soient le plus confortablement installés
- Aux massages et techniques simples de rééducation visant à travailler les Niveaux d’Evolution Motrice des enfants (NEM).
Ces méthodes seront appliquées aux enfants handicapés par les nourrices sous la supervision du kinésithérapeute.
Le projet
Type de projet : santé et éducation
Localisation : Hô-Chi-Minh-Ville (Go Vap) et de Vung Tau
Durée globale : 2013 à 2016
Etat : En cours
Déroulement du projet :
En 2015, l’activité d’EPVN s’est concentrée sur 2 axes :
- 2013-2014 : Etienne Descamps a organisé ces formations au personnel dans le cadre d’un service civique suivi par EPVN
- 2015-2016 : le kinésithérapeute passera une 1/2 journée à Vung Tau à partir de juillet pour former 2 nourrices en charge des soins à apporter aux 15 enfants handicapés.
Coût et financement du projet
Le coût de 575€ se décompose comme suit :
- Coût des déplacements en bus ou moto (Ho Chi Minh à Vung-Tau) le samedi 120 000 dongs chaque trajet donc A :R 240 000 dongs (10€) 1 trajet en juin, 2 en juillet, 4 en août, 4 en septembre, 4 en octobre 4 en novembre et 4 en décembre donc 230€
- oût de la traductrice 5€ de l’heure pendant 3 heures donc 15€ par séance donc 345€
Le financement est assuré par : Dons des particuliers (adhérents ou non d’EPVN)
Partenaires du projet
Au Vietnam :
- La direction de l’orphelinat de Go Vap
- Le kinésithérapeute
Contact EPVN
Si vous souhaitez en savoir plus sur ce projet, vous pouvez nous écrire à contact@epvn.org.
Témoignages
Témoignage d’une adhérente de l’association après un voyage au Vietnam sur les sites où intervient l’association
(…) « Parfois aussi, les situations individuelles des familles rencontrées me plongent dans une vive émotion : la pauvreté criante, bien sûr, mais aussi la détresse des familles devant l’infirmité de leurs enfants, provoquée par l’agent orange, produit hautement toxique déversé pendant la guerre du Vietnam. Il y a tellement à faire pour soulager un peu cette souffrance ! » (…)